Mali đČđ± - Le Pays des Dogons - Sirius A, B, C âšâïž
Cet Ă©crit prĂȘt Ă s'envoler s'est vu supplanter par inadvertance dans mes tranchĂ©es bouillonnantes d'essais brouillons ...
En ce jour, je dĂ©cide de lui rendre ses ailes pour une destination dite Ă©clairĂ©e - Ă©toilĂ©e đđ -
Me Voila ... engageant le dernier épisode de la trilogie mienne spéciale saga Mali !!
Et voici le plus fameux - la cosmogonie des Dogons -
Chez les Dogons, le Nommo laissa trois rĂ©vĂ©lations par le verbe: âla premiĂšre parole Ă©tait un verbe humide, la seconde un verbe lumineux, la troisiĂšme un langage Ă la fois parlĂ© et musicalâ. Les Dogons assimilent donc la voix Ă lâeau, comme Ă©mission "dâune buĂ©e tiĂšde porteuse de verbe, verbe elle-mĂȘme."
Arts lointains - Espaces de culture sans fin ...
Je vous ai bercĂ© Ă son histoire - poĂ©sie ( 2 posts - prĂ©cĂ©dents ) et maintenant il est l'heure de la rĂ©vĂ©lation mystique en ses terres qu'est la rĂ©gion dite du pays des Dogons en plein Coeur du Mali đČđ± - rencontre transcendantale - - d'abord ce paysage envoĂ»tant - myriade fascinations - la dĂ©couverte d'un peuple antique - purs atavique - nommĂ© les "Tellem", ancĂȘtres des Toloy - ancienne civilisation de l'Ă©poque mĂ©diĂ©vale - de la taille des pygmĂ©es - appelĂ©s les petits Hommes rouges - laissant vestiges - tĂ©moins de leur civilisation - zone d'habitation troglodyte - et incantations dans les nĂ©cropoles nichĂ©es dans les falaises de Bandiagara - puis les Dogons viennent migrer les lieux arrivant tout droit de la rĂ©gion de MandĂ© pour Ă©chapper Ă l'esclavagisme et l'islamisation du XIV eme siĂšcle .... les Tellems fuirent alors les lieux en partance vers le sud, au Burkina Faso lĂ oĂč l'extinction de l'ethnie a Ă©tĂ© constatĂ© ... due aux durs alĂ©as de la sĂ©cheresse, famine, maladie et autres ... et pourtant on suppute leur prĂ©sence possible dans le nord du Burkina Faso ... encore aujourd'hui ... enquĂȘte Ă suivre ...
Je tenais Ă vous faire part de divers documents consacrĂ©s Ă l'Ethnie des Dogons et leur science si savamment discutĂ©e - car nombreuses thĂšses co - existent et circulent Ă propos de leur connaissance cosmologique - certains s'en amusent en dĂ©nonçant une histoire sortie tout droit d'un roman de science - fiction, et d'autres y croient avec certitude au vu de faits troublants de vĂ©ritĂ© - astronomique - et vĂ©rifiĂ©e Ă propos des Ă©toiles âš Sirius A / B / C âš!!
Et moi, je me permets une petite intervention đ - au Coeur du dĂ©bat pour avoir visitĂ© et sĂ©journĂ© ce site nommĂ© le Pays des Dogons - mes impressions vĂ©cues et narrĂ©s ne peuvent avoir la rĂ©sonance exacte de ce qui a Ă©tĂ© vĂ©cu - car tout bonnement inexpliquable - indescriptible - ce plateau de dessert assĂ©chĂ© aux allures de grand canyon Ă l'Afro - suspendu au milieu du nĂ©ant - une sensation de vide et de plein constamment relayĂ©e en ma chair Ă©thĂ©rique - c'est l'effet bande Ă Bozo đ - moi qui courtise volontiers l'espace temps - le dĂ©trĂŽner pour mieux le chĂ©rir - le faire pendiller au bout de ma rĂ©alitĂ© ... j'en fais mon rĂȘve - rĂ©alitĂ© - je me suis emballĂ©e - retour Ă ce panorama Ă©poustouflant - arrivĂ©e dans un des villages - les traditionnels regroupements - enfants - essentiellement - et on part Ă la rencontre des Dogons et lĂ je sens une main se glisser dans la mienne - habitude -rĂ©guliĂšrement happĂ©e en Afrique par des Ă©motions exacerbĂ©es entre la rencontre du yin et du yang đ- mais Ă cet instant c'Ă©tait diffĂ©rent des autres fois comme une seconde peau greffĂ©e - et ce durant toute la visite - du site troglodyte dans le sillon du circuit des falaises - cet enfant qui me cherchait sans cesse des yeux đ et scrutait en tout coin ma blancheur pourtant dĂ©jĂ connue - ressentir une telle insistance m'a percutĂ©, au moment de partir, pas moyen de m'en dĂ©coudre, je l'emmĂšne en voiture pour provoquer une rĂ©action et lĂ il se dĂ©bat tout en me ramenant vers le village - des siens - j'explique ce qu'ils savent comprendre sans en possĂ©der la linguistique - court dans le sens inverse Ă toute vitesse - disparaĂźt - revient - et m'attache un collier ... une flĂ»te de bois - enchantĂ© - Ă 6 branches - autour du coup - larmes s'en suivent - et il me parle au moins 5 Minutes - je n'y comprends rien mais l'un d'eux tente de m'expliquer - il faut que je reste ici avec lui au village comme ça la pluie viendra - et pourquoi pas - j'avais 15 ans - il en avait 5 - et on poursuit sa route sans dĂ©tour, ni retour Ă la prochaine Ă©tape.
P'tite histoire innocente, anodine, ĂŽtĂ©e de transcendance apparente et pourtant la vibration et l'Ă©nergie propulsĂ©es en ces lieux mĂȘme en dehors du contexte demeure fonciĂšrement mystique autant dans les pratiques des autochtones et davantage encore dans le regard des uns et des autres sous forme de lecture đ d'Ăąme Ă Ăąme comme si ils savaient parfaitement lire dans nos civilisations occidentales -
Anecdote contée avant de vous présenter une vidéo pleine de vérités factuelles puis une version source de cosmogonie des Dogons -
Bon visionnage -
L'Ă©nigme mystique mĂ©rite intĂ©rĂȘt, recherche ... d'autres Mondes suspendus Ă explorer !
Le mystĂšre des Dogons
I Introduction
Les Dogons est la dĂ©nomination dâun peuple vivant sur le plateau dessĂ©chĂ© de Bandiagara au Mali et qui font Ă©tat dans leur tradition, dâune cosmogonie si fantastique quâelle semble tout droit sortir dâun roman de science-fiction. Mais analysons dâabord comment toute cette Ă©trange histoire a commencĂ©;
Ce sont deux ethnologues français , Marcel GRIAULE et Germaine DIETERLEN qui aprĂšs avoir Ă©tĂ© initiĂ©s par un prĂȘtre Dogon en 1946, publieront aprĂšs 4 ans dâenquĂȘtes en 1951 une Ă©tude dans le journal de la » SociĂ©tĂ© des Africanistes » sous le titre: » Un systĂšme soudanais de Sirius« , suivi dâun ouvrage intitulĂ© « Le renard pĂąle » sous-titrĂ© » le mythe cosmologique , travaux et mĂ©moire de lâInstitut dâEthnologie Ă Paris » oĂč ils ont fait le rĂ©cit de ce que leur a dĂ©voilĂ©, ce prĂȘtre sur la vision des Dogons de lâUnivers et ce quâils ont racontĂ© alors, Ă©tait tellement extraordinaire, que personne ne voulut les croire.
II La genĂšse de lâ affaire:La cosmogonie de Dogons
Dâabord il faut savoir que ces Dogons prĂ©tendent, en premier lieu, connaĂźtre depuis longtemps deux Ă©toiles compagnes de Sirius qui est lâĂ©toile la plus brillante du ciel et que lâon peut voir, en dĂ©but de FĂ©vrier presque au dessus de notre tĂȘte, en Guadeloupe vers 20 heures. Mais Ă lâĆil nu, on ne peut apercevoir quâune seule Ă©toile et ce nâest quâen 1862 que, lâastronome amĂ©ricain Alvan CLARKE dĂ©couvrit, grĂące Ă un tĂ©lescope puissant, la deuxiĂšme Ă©toile qui fut nommĂ©e alors: Sirius B .
Cependant les Dogons eux affirment quâil existe une troisiĂšme Ă©toile, que nous pourrions nommer Sirius C, et ils nous disent surtout que leurs ancĂȘtres seraient justement venus, il y a des millĂ©naires, dâune planĂšte en orbite autour de cette troisiĂšme Ă©toile que nous ne connaissons pas encore.
Mais voyons plus en dĂ©tail ce que nous disent Ă ce sujet les Dogons. Ils affirment que Sirius possĂšde dâabord un compagnon plus petit et surtout plus lourd quâils nomment PO Tolo ou Po-Digitaria du nom dâune graine de cĂ©rĂ©ale, africaine trĂšs petite et trĂšs lourde quâils utilisent rĂ©guliĂšrement. Mais surtout les Dogons savent que Sirus B donc Po-tolo boucle son orbite elliptique autour de Sirius A en 50 ans et câest pour cela que ces Dogons cĂ©lĂšbrent tous les cinquante ans, la » fĂȘte de Sigui « dont les cĂ©rĂ©monies visent Ă rĂ©gĂ©nĂ©rer le Monde, dâoĂč son importance, sans doute pour que les rĂ©coltes soient bonnes. Or câest dâabord lâallemand Bessel qui fut le premier, en 1844, Ă soupçonner lâexistence de cette 2Ăšme Ă©toile, pour expliquer les oscillations insolites du mouvement apparent de Sirius A, alors que lâorbite thĂ©orique de cette Ă©toile Sirius B, on le sait, invisible Ă lâĆil nu, fut calculĂ© par Peter en 1851 et sa pĂ©riode de rĂ©volution fut prĂ©cisĂ© de 50,090 ans par Van Den Bas en 1960. Or les Dogons le savaient dĂ©jĂ eux, et comment ont-ils su que la pĂ©riode de rĂ©volution Ă©tait justement de 50 ans.
Cette Ă©toile Sirius B est ce que lâon appelle une « naine blanche« . Elle est plus vieille que Sirius A, mais ne mesure que 30 000 Km environ de diamĂštre, donc 2 fois et demi celui de la Terre et sa densitĂ© est de 50 000 alors que sa masse atteint 90% de celle de notre Soleil. Mais que dire de cette troisiĂšme Ă©toile Sirus C que les Dogons affirment connaĂźtre? Ils la nomme » Emma Ya « ou « Sorgo« ou encore « LâĂ©toile des femmes« et ils disent que cette Ă©toile a une pĂ©riode de rĂ©volution de 32 ans autour de Sinus A, sur une orbite elliptique trĂšs excentrique et qui est, (et cela est plutĂŽt remarquable comme prĂšcision), perpendiculaire Ă celle de Sirus B. Les Dogons, qui ont dessinĂ©s ces orbites sur leur objets prĂ©cieux sans doute pour mieux les visualiser, affirment surtout que Emma ya, possĂšde plusieurs planĂštes en orbite autour dâelle et que câest de lâune de ces planĂštes, que seraient venus leurs ancĂȘtres, il y a trĂšs longtemps Ă bord du NOMO vaisseau inter-stellaire dont la forme et le comportement ressemble beaucoup Ă ceux de la fusĂ©e lunaire Apollo.
En ce qui concerne les recherches des astrophysiciens sur cette Ă©toile Sirius C, en 1991 dans la revue « Astronomy & Astrophisics« , les astronomes, Jean Marc Bonnet-Bidaud et CĂ©cile Gry nous disent quâils en soupsonnent lâexistence par suite de la constatation dâun changement de couleur du systĂšme, Ă travers les ages, et pensent que cet hypothĂ©tique troisiĂšme compagnon de Sirius pourrait bien avoir une orbite trĂšs aplatie comme une comĂšte et aprĂšs analyse grĂące Ă un coronographe occultant la lumiĂšre aveuglante de Sirius A, ils ont sĂ©lectionnĂ© deux dâentre ces corps voyageurs sans arriver encore Ă dĂ©terminer lequel de ces astres montre le mĂȘme mouvement propre que Sirius. Cependant dĂšs les annĂ©es 1920 une demi-douzaine dâastronomes rapportĂšrent lâobservation dâune 3Ăšme Ă©toile trĂšs faible susceptible dâappartenir au systĂšme , mais aucune confirmation nâa pu Ă©merger jusquâalors.
Les derniers travaux menĂ©s par les astronomes jean-Louis Duvent et Daniel Benest de lâobservatoire de Nice qui utilisĂšrent des simulations numĂ©riques dâordinateurs, semblent renforcer lâhypothĂšse de lâexistence du 3Ăšme corps dâune masse trĂšs faible, de 0,5 fois au plus la masse solaire et de magnĂštude apparente de 5 Ă 10 fois plus faible que Sirius A. (Voir la Revue CIEL ET ESPACE dâAoĂ»t 1995, Article dâOlivier FEVRE « LâĂ©nigme de Sirius« et voir aussi lâarticle » Les Ă©toiles du sacrifice » de Serge Jodra dans le n° 331 de la mĂȘme revue de Mai 1996 .)
Dâailleurs les Dogons ont Ă©galement dâautres connaissances astronomiques toutes aussi Ă©tonnantes de la part dâune tribu arriĂ©rĂ©e qui vit au centre dâAfrique et pratiquement sans contact extĂ©rieur. Ils connaissent les diffĂ©rentes phases de VĂ©nus, qui sont Ă peu prĂšs analogues Ă celles de la Lune et ils ont donnĂ© 6 noms diffĂ©rents aux divers aspects que prĂ©sente, dâaprĂšs eux, cette planĂšte comme sâils avaient su comment faire pour lâobserver de lâextĂ©rieur . Dâautre part, ils divisent le Ciel en 22 parties Ă©gales et en 266 constellations et ils disent aussi que Venus possĂšde un compagnon, qui pourrait ĂȘtre sans doute lâastĂ©roĂŻde Toro, rĂ©cemment dĂ©couvert entre la Terre et VĂ©nus. Ils connaissent aussi les 4 plus gros satellites de Saturne pourtant invisibles Ă lâĆil nu, mais ils ignorent cependant les planĂštes au delĂ de Saturne donc Uranus, Neptune et Pluton alors quâils connaissent les compagnons stellaires de Sirius . Il est donc Ă©vident que ces Dogons nâont pas pu , par eux mĂȘme, acquĂ©rir leurs connaissances et ils ne peuvent en avoir eu la rĂ©vĂ©lation, que par des initiateurs cosmiques.
Les Dogons prĂ©tendent aussi que tout lâUnivers tourne en spirale conique et quâil a Ă©tĂ© crĂ©Ă© Ă partir dâun noyau central par la voix dâAMMA leur dieu suprĂȘme et cela ressemble assez Ă ce qui est dit dans la Bible tel quâ « Au commencement Ă©tait le Verbe de YaHWeH ». Pour eux lâ Univers est infini, mais cependant mesurable, ce qui rejoint les thĂ©ories dâEinstein et de plus, ils croient que les mondes infinis sâĂ©loignent de nous Ă des vitesses trĂšs grandes dans un mouvement spiralĂ© donc par une combinaison de translations et de rotations, combinaison qui se retrouve aussi bien disent-ils dans les structures Ă©lĂ©mentaires infiniment petites que dans celles infiniment grandes et nous voyons lĂ quâils anticipent ainsi sur les conclusions les plus modernes concernant lâexpansion et la structure de notre Univers.
La tradition des Dogons , que nous raconte le prĂȘtre OGOTEMMELI, dit aussi que leurs ancĂȘtres Ă©taient des amphibiens et câest pour cela quâ ils cĂ©lĂšbrent lâanniversaire de leur arrivĂ©e sur Terre sous le nom de « jour du Poisson » et cela fait encore penser Ă la tradition SumĂ©rienne qui nous parle dâOANNES lâhomme poisson qui apparut Ă plusieurs reprises sur les plages du Golfe Persique pour civiliser et Ă©duquer les hommes. Le NOMO Ă©tait rouge comme le feu quand il atterri au Nord-est du pays, dans un tourbillon de poussiĂšre, puis il fut traĂźnĂ© dans une dĂ©pression remplie dâeau et il put ainsi flotter. Puis les astronautes amphibiens sortirent de la capsule. Dâailleurs lâeau joue un grand rĂŽle chez les Dogons qui considĂšrent que lâeau douce est de nature masculine et lâeau de mer de nature fĂ©minine que cette eau est la force vitale de la terre, force qui se trouve mĂȘme Ă lâintĂ©rieur de la pierre car lâ humiditĂ© est partout. NOMO, qui dĂ©signe aussi le Commandant du vaisseau, est descendu sur la terre, porteur de fibres vĂ©gĂ©tales tirĂ©es des plantes qui poussaient dĂ©jĂ dans les « champs du Ciel » et aprĂšs avoir crĂ©Ă© la Terre, les plantes et les animaux, il crĂ©a le premier couple humain, qui engendra par la suite, les huit grands ancĂȘtres de lâHumanitĂ©. Sa tĂąche terminĂ©e, Nomo regagna le Ciel.
Ceci se rapproche, on le voit , de beaucoup dâhistoires connues, et on dĂ©couvre bien ici, que les Dogons savent quâil existe des Terres cultivĂ©es ailleurs, dans le ciel, alors quâil nây a pas bien longtemps en 1772 certains savants dont le grand chimiste Lavoisier, pensaient que les mĂ©tĂ©orites ne pouvaient tomber du ciel car dâaprĂšs eux, « il nây avait pas de pierres dans le ciel« . Mais ce sont les rĂ©vĂ©lations sur lâeau, que nous raconte ce prĂȘtre dogon, qui sont encore plus surprenantes, quand on sait que la science actuelle nâa que rĂ©cemment dĂ©couvert la possibilitĂ© dâobtenir de lâeau Ă partir de la roche du sol, en voulant optimiser les possibilitĂ©s de survie des hommes qui pourraient sĂ©journer sur la Lune pour de longues pĂ©riodes et cela extrayant de ces pierres lunaires, Ă lâaide de procĂ©dĂ©s trĂšs pointus et onĂ©reux, lâ hydrogĂšne et lâ oxygĂšne Ă lâorigine de la molĂ©cule dâeau.
III Conclusion.
Les connaissances cosmiques, extraordinaires, des Dogons, nous interpellent, dĂšs maintenant, et on se demandera longtemps encore, comment ils ont pu connaĂźtre tout cela, sans microscope ni tĂ©lescope, et sans appliquer les mathĂ©matiques supĂ©rieures qui nous ont Ă©tĂ© nĂ©cessaires pour progresser. Et on peut, si tout cela est vrai, alors Ă©mettre lâhypothĂšse que le passĂ© de notre planĂšte serait bien plus fabuleux et rĂ©vĂ©lateur que celui que lâon nous a jusquâalors, si modestement prĂ©sentĂ©.
Autres références:
De la revue disparue Nostra :
-Article de François Brun intitulé « Le fabuleux secret des Dogons« n° 205 du 10 Mars 1976.
-Article de Lucien Barnier intitulé « La Science astronomique des Dogons: un formidable mystÚre« n° 225 du 26 Juillet 1976.
PS1 en date du 12/02/02
Le 12/02/02, nous avons reçu de lâ aimable internaute avonien@yahoo.com, le nom dâun ouvrage remarquable qui permettra aux internautes qui veulent en savoir plus de poursuivre leurs recherches au sujet des Dogons et aussi sur bien dâautres sujets.
Voici donc les références de cet ouvrage:
« De Thot-HermĂ©s Ă la Tradition Primordiale â origines secrĂštes de lâhumanité« de Guillaume Delaage paru aux Ed. Ramuel.
âȘThĂ©ories des Dogons, Sirius et Les dogons : Un mystĂšre planĂ©taire !âŹ
Avec lâastro-physicien Jean Marc Bonnet Bidault
Théories des Dogons, Sirius et Les dogons ! Un mystÚre planétaire !
Une vidéo Tellmemore
Ajouté le 27 nov. 2015
essavan@555 - mes annĂ©es Mali - ma terre d'adoption - đđ»đđđ»